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La cornemuse pénètre sans doute en Occident pendant l’Antiquité avec les légions romaines, l’Utricularium.
Au Moyen-Age, on trouve une cornemuse rudimentaire composée de une à deux muses fixées à un sac formé d’une peau complète de chèvre : La chevrette.
A partir du XIVe siècle, sur certaines représentations de la cornemuse, la muse cède la place à un chalumeau à perce conique, et un deuxième chalumeau est ajouté : le Bourdon.
A la Renaissance, en Flandre, les peintres, comme Bruegel, représentent des instruments dont les deux bourdons ne sont pas posés sur l’épaule mais dressés vers l’avant : le Doedelsak.
Pour le jeu d’intérieur, de petites cornemuses plus douces sont élaborées les musettes. |
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